Tant que l’on est satisfait de notre culture, de notre qualité de vie personnelle, il est courant de dénier les problèmes du monde (le monde en dehors de nos pairs). Ce faisant, on contribue aux guerres dans le monde, car à peu près toutes les cultures existantes -du moins celles dominantes et répandues- sont guerrières (de manière explicite ou plus subtile).

Les chapitres suivants tentent un peu d’ébrécher la vanité et la fausse paix véhiculée par les cultures dominantes.
Qu’est-ce que la paix, si elle n’est pas une guerre gagnée par un camp ?
La guerre n’est pas que sanglante, il y a aussi celle économique.
Mais, la remise en question des certitudes culturelles peut déstabiliser. Il y a donc besoin d’aides à un maintien psychique stable.

Lorsqu’on a un peu mordu la poussière, on peut soit
s’en renforcer,
s’en ficher,
en déprimer (cf. le § hauts secours),
ou vouloir détruire et remplacer ce système.
C’est dans ce dernier désir que s’engouffrent diverses illusions aussi corrosives que stériles. A ce sujet, je propose :
° de regarder de plus près ce qu’est ce système sociétal.
° de réfléchir à la qualité de nos organisations,
d’identifier les idées dogmatiques qui nous pétrissent, et de ne pas confondre spiritualité et ego spirituel déboussolé.
° de questionner les sources d’information sur lesquelles nous nous appuyons,
° de questionner le toxique rôle de sauveur,

Lorsque nous avons froid aux yeux et besoin de réconfort, nous pouvons recourir à certaines formes de pensée positive. NB. je l’utilise de manière critique, non fanatique.

Lorsque nous voulons affronter un aspect dérangeant de nos fausses certitudes, pour évoluer, le regard en miroir est un outil difficile mais intéressant.