#Cœur
Lorsqu’en plus de bouger (randonnées régulières en montagne en ce qui concerne mes gouts) je respire par le nez en conscience, et que je déplace (dans la mesure de mon possible) la conscience de moi-même dans mon cœur, je commence instantanément un processus de guérison :
> perdent de l’influence les identités illusoires à propos de moi-même (toutes les étiquettes que la société m’a suggérées, non pas nécessairement pour que je sois authentiquement moi-même, mais pour que je joue au jeu productif mondial, aux jeux de dominations multiples.
Exemple d’étiquettes lâchées : les constructions de genre stéréotypées, les postures de victime, de redresseur de tort, l’identification aux compétences professionnelles, etc.)
> perdent de l’influence les fausses faims, les sentiments qui tournaient en boucle en moi (ces émotions bloquées que je nourrissais au lieu de les écouter pour les laisser se dissiper), les stress inutiles lorsqu’exposé à entendre les récits malheureux d’autrui, les catastrophes des “actualités” ou de me trouver dans un lieu où est projeté un film aux basses vibrations.
> disparaissent les crispations autours d’opinions sur autrui.
> s’évaporent les pseudos sentiments d’amour créés par mon mental en l’absence de connexion au cœur : qu’il s’agisse de la dépendance pseudo-amoureuse à quelqu’un, de la dépendance à un.e thérapeute, ou de la dépendance à la fausse humilité d’un ego spirituel orgueilleux.
> s’améliore la confiance en un moi profond et ma capacité d’évoluer au point de pouvoir tisser de nouvelles créations et co créations harmonieuses et reliées à la vie qui sous-tend l’univers.
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