Intention : ouvrir tous les yeux / sortir de l’addiction au « système »
Les principes universels
M à j : août 2024 – 1
L’univers est plus vaste que notre société
Quelles que soient les causes économiques, politiciennes, et éducatives des maux contemporains, ce système est lui-même bâti sur des #lois #universelles (#physiques et #métaphysiques, psychologiques, spirituelles, biologiques…).
Par exemple, de même qu’une ville de béton est bâtie en soumission à la loi (ou force) de la gravité terrestre, notre « système » qui veut contrôler les humains, la nature en général, les opinions… est bâti en soumission à d’autres lois (ou forces) universelles −que nous les connaissions ou pas.
Quelles sont ces principes universels ?
Comme beaucoup d’entre nous, j’ai entendu parler :
de l’Arbre de vie,
de l’équilibre Yin et du Yang,
de la loi action-réaction,
de la loi d’attraction vibratoire,
de l’équilibre des éléments primordiaux (eau feu terre air)…
d’un principe d’observation / non réaction / non agir (pour ensuite agir juste)
Et tout cela est déjà très documenté (dans diverses traditions orales ou écrits millénaires, dont j’apprends, mais dont je ne me sens pas un porte parole agréé).
Il y a un principe d’amour. J’en ai entendu parler mais je l’ai expérimenté, à ma manière.
Largement expérimenté lorsque j’étais enfant, il semble y avoir une « loi du plus fort », que l’on l’apprend très tôt (car elle procure une relative suprématie à certains élèves de la cour de récréation, à certains membres de la famille, et aux entités assez riches pour disposer d’une armée…) ;
mais elle est moins absolue que la peur ne nous laisse le croire :
d’autres éléments que notre seule force agissent pour nous permettre de vivre.
« Le système » et les oppresseurs utilisent l’apparente « loi du plus fort », mais ne peuvent probablement pas s’extraire des autres principes de la vie, notamment des effets de la lucidité, de l’authenticité (avec soi-même, et avec les autres par voie de conséquence), de l’amour, de la bonté, de la compassion, de la cohérence…
Qu’en faisons-nous ?
- Croyons-nous à (une cruauté humaine inévitable, ou à) une coopération possible ?
- Croyons-nous que l’éveil de nos consciences, la bonté et la compassion, pourront transcender l’agressivité de la société ?
- Quel « système » sommes-nous : « gérons »-nous nos propres vies par contrainte, plaisir, instinct grégaire, intuition, croyances, ruse, force… ?
- Incarnons-nous le monde que nous souhaitons voir éclore ;
ou tentons-nous d’être plus forts que les oppresseurs déjà en place −ce qui se fait depuis des millénaires ?
- Croyons-nous possible un monde permissif à la diversité naturelle, où…
…Plusieurs modes de vies existeraient sans se menacer,
Personne ne serait frustré au point de [ désirer détenir / approuver l’existence d’ ] un pouvoir démesuré,
L’on serait libres de circuler,
Les opinions minoritaires seraient prises en considération (sans devoir provoquer pour se faire entendre),
Rien ne légaliserait que des adultes puissent imposer une idéologie à un enfant (fût-il né de leur ovule et de leur spermatozoïde, habitant du même quartier, ou étant leur élève ou disciple)…
Un tel système appellerait un grand sens partagé des responsabilités (par exemple, le droit de circuler, certes, mais pas en prenant un moyen de transport polluant par habitude comme de nos jours (en réservant ce dernier à des nécessités absolues)).
Nous pouvons tous nous interroger : ai-je semé ou détruit, autour et en moi ?
Ai-je réellement conscience de la conséquence de mes choix quotidiens (votes, consommation, éducation, paroles, ce que quoi je focalise mon attention, ce que j’écoute ou refuse d’entendre…)
Ai-je conscience des lois universelles qui sous-tendent ma vie et ses choix apparents ?.
Ouvres d’autres auteurs
Dan Millman, « Les lois de l’esprit » 1995 livre audio