Plan de la page :
1 L’alimentation (les phases / #sucres et #viandes / autres #glucides / #protéines intéressantes / qualité / astuces / #prana ?)
2 #santé
3 L’agriculture
m à j : août 2024 – 4.
La partie #alimentation n’est pas un cours, même si j’y partage quelques recettes.
Ces observations font suite à un contexte culturel :
j’ai eu des cours de nutrition officielle, et aussi testé diverses alternatives.
Il existe déjà de nombreux guides nutritionnels. Ici je n’ai pas voulu les remplacer mais commenter quelques unes des idées reçues qui circulent : y apporter mon regard avec quelques dizaines d’années d’essais et d’observations en la matière.
Cette page fait suite à la page « ancrage » dont les conseils aident à lire la présente page avec moins de risques d’erreurs d’interprétation.
Savoir ou ressentir ? (cliquer)
Une alimentation saine ?
J’ai été enseignant en #nutrition (à partir du discours officiel du programme Educ. Nat., pour former des BEP carrière sanitaire et sociale et des assistants de vie). Contenu intéressant -quand on n’a aucune base de connaissance nutritionnelle préalable-, mais contenu pas assez scientifique à mon goût, trop dogmatique, et trop éloigné de mes observations.
(J’ai décidé de ne plus enseigner un programme avec lequel je n’étais pas entièrement d’accord et ai renoncé à ce métier).
Cette page est pour partager quelques observations susceptibles de donner envie de vous renseigner davantage par vous-mêmes).
L’alimentation est primordiale, mais se stresser (pour ce motif ou un autre) est stérile.
Plutôt que de suivre un régime frustrant, pourquoi pas se faire confiance ?
Pour cela, s’en donner les moyens.
Par exemple, profiter de journées moins stressantes que d’autres pour être très attentif.ve à ce qui se passe avant, pendant et après avoir ingurgité un aliment. Pensées, sensations corporelles, émotions, fatigue ou dynamisme…
Oublier ce que l’on croit savoir au sujet d’un aliment, et lorsqu’on le mange, en ressentir l’impact. Méditer si possible, et ensuite choisir de le maintenir ou de le supprimer, selon ce qui nous fera sentir être un allié de nous-mêmes avec nous-mêmes, et non pas un gendarme ou une victime de nous-mêmes.
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Il n’y a pas besoin de tuer ou de surexploiter des animaux pour trouver des protéines assimilables. Et si on en a consommé, que se passe-t-il en nous (douceur, agressivité, orgueil, tristesse, force, autre ?)
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Aller à la rencontre gustative des légumes (qui poussent dans la terre, en choisissant ceux cultivés sans intrants, bien sûr. Un intrant pouvant être un engrais, un fongicide, et/ou une molécule non bénéfique à la vie (si on regarde sur le long terme) ou tant de produits phyto sanitaires que je ne connais même pas, et dont la présence n’est même pas signalée sur les étiquettes de vente.
(suite) Manger à heures fixes ?
Les phases
° Faut-il manger à #heures régulières ?
–> « il faut » mérite tout un débat philosophique. Mais ce n’est pas l’objet ici.
–> oui pour être un bon employé à heures fixes, et pour ne pas rater la propagande du JT,
–> oui dans la plupart des cas, car la psyché de beaucoup de personnes est compensée ainsi (instable sinon) et parce que le ressenti corporel est immature,
–> pas nécessairement lors de certaines formes d’éveil. Mais dans ce cas :
1. on ressent ce qu’il nous faut et quand il nous le faut
2. ET cela se vérifie par une bonne santé sur le moyen et le long terme (on peut brièvement expérimenter des crises de détox, de moins en moins violentes plus on améliore notre santé).
Sinon, c’étaient possiblement des ressentis autres qu’intuitifs (des peurs, du parasitage…), et dans ce cas, les repas équilibrés à heure fixe semblent une option plus sûre.
Suggestion :
Rechercher des ressemblances entre un cycle respiratoire, le rythme d’activité de la journée, l’intensité des différentes prises alimentaires.
Si vous avez des journées qui ne se ressemblent pas, peut-être cette vision simpliste peut aider à conevoir quelque chose de plus élaboré adapté à votre situation :
périodes à dominante dynamique.
alimentation non pas chargée mais adaptée, assez fournie, pour ne pas puiser sur des réserves ni décompenser psychiquement à des moments inadéquats.
Plus ou moins de cuit selon les besoins individuels.
périodes à dominante #détox.
cru** (avec extracteur si besoin d’éliminer certaines fibres). pas de stress. méditation. écoute de nos parts d’ombre au besoin (ni censure ni exagération).
(NB. Périodes bien moins longues que les périodes dynamiques -pour ce qui concerne l’alimentation. On peut méditer tous les jours si on veut).
Lors de quelques moments, s’ils sont justes pour notre santé : jeûne à durée adaptée, de loin en loin, dans certaines situations, si on maitrise une technique adaptée à notre physiologie et à notre psyché (sinon préférer une simple diète courte).
** tout ne se mange pas cru. Typiquement : pomme de Terre, crudités infectées par un micro organisme pathogène…
Les période « détox » sont propices aux remontées psychiques désagréables, à des symptômes physiques de détox : nez qui coule, sueur inhabituelle…
D’une part, en cas de besoin médical, la société juridique dans laquelle on vit exige que vous consultiez un médecin ;
d’autre part, lorsqu’un médecin n’est pas requis, ou a donné son aval, il y a besoin d’avoir confiance en la vie, en soi, pour traverser une période de détox ; et il y a besoin de se fixer un cadre cohérent avant d’avoir l’esprit éventuellement affaibli par les toxines affluentes ou une hypoglycémie :
si fixer des repères et des indicateurs, demander à un proche de veiller sur nous à des moments convenus.
Rien ne sert de commencer une journée de manière extrémiste (par exemple avec un jus de citron et une abstinence alimentaire inappropriée à nos éventuels besoins du moment), ensuite de s’exposer à une situation plus stressante qu’on ne pourra le supporter le ventre vide, pour rebasculer brutalement sur un gavage compulsif.
Mieux vaut une alimentation stable (sans phases) qu’un yoyo insensé.
A l’inverse, si la période de détox s’intègre dans une connaissance et un respect de soi, elle peut permettre d’accueillir des émotions enfouies, de dénouer de vieux conflits psychiques enterrés, de se reposer si besoin… ensuite la phase dynamique ne sera que plus active.
Suggestion : ne pas se jeter dans des comportements extrêmes, dans des phases alimentaires révolutionnaires…
Utiliser chaque idée glanée -ici ou ailleurs- avec lenteur et parcimonie, pour observer convenablement et en toute sécurité les effets sur soi (et non pas attendre les effets statistiquement ou théoriquement espérés).
NB. Des gens ont guéri de maladies par le cru et/ou le jeune. blâmer ces deux méthodes est stérile, et les critiques peuvent provenir de médias au service d’une vision matérialiste et mercantile de la médecine. Mais d’un autre côté, des gens ont perdu en force et en vitalité à force de se croire impurs, de chercher à se purifier, à jeûner, à refuser les aliments lourds et solides. Il est donc dangereux de sanctifier les théories sur le jeûne et sur le cru :
il ne reste que l’option de trouver ce qui est juste pour vous, sans excès, sans fanatisme.
Pour avoir été longtemps immature affectivement, constamment en sentiment de manque affectif, je sais combien il est tentant de se jeter dans l’excès de nourriture et combien à d’autres moment, il est tentant de se priver, à en nuire à la santé, tout en croyant agir pour se détoxifier.
Mon conseil à mes alter ego : soignez vos pensées, soignez votre cœur, et arrêtez de croire qu’un régime magique va vous sauver, arrêtez de croire au sauveur tout simplement, et pour ce faire, arrêtez de croire à la version misérable de votre vie (sans pour autant croire à celle vaniteuse).
(suite) : Les glucides
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Les sucres rapides*** (saccarose en #1), le régime viandard, & divers glucides
J’ai cru, en suivant les cours enseignés au lycée, que le sucre était utile (à sa bonne dose. A mon époque la formule était GPL 421, avant d’avoir la pyramide des aliments et le PNNS).
Un crédit ?
Le sucre est comparable à un crédit.
De la même manière qu’un micro crédit peut aider à démarrer une entreprise, un gros crédit peut trop lourdement peser.
Le micro crédit fonctionne de manière satisfaisante pour un projet économique, pas pour un caprice consumériste.
Encore faut-il avoir un projet d’entreprise. Ce que la métaphore veut dire est :
° que le sucre offre une disponibilité immédiate d’énergie mais cela se paye ensuite.
° qu’un peu de sucre pour mener à bien une activité enthousiasmante, est davantage porteur qu’une diététique de l’ennui,
° que le sucre, comme l’argent, est addictif et peut causer de gros dégâts si on le laisse nous diriger,
° qu’on peut aussi épargner quand on en a l’occasion, au lieu de toujours emprunter au dernier moment. On épargne en se reposant convenablement quand c’est le moment pour cela, de s’activer physiquement à d’autres moments, et plus largement en menant une vie enthousiasmée (par un enthousiasme autre que le cynisme de (se) détruire).
Donc, le sucre n’est quasiment jamais indispensable.
NB. Ce qui est dit pour le sucre est valable aussi pour tout aliment mangé sans réel besoin du corps.
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(L’abondance de fruits crus peut entretenir la santé dans certains modes de vie ; tandis que chez d’autres personnes, beaucoup de fruit aura un impact négatif, comme l’excès de sucre).
Outre les problèmes de diabète, le(s) sucre(s) est la nourriture favorite des entités diverses que notre système immunitaire combat (cellule cancéreuse, certaines levures, …).
Tant qu’on est dans le piège sucrier de cette société (sucreries en tête de gondoles, sucres cachés dans divers plats y compris salés, et même en bio, tradition pâtissière, sodas, confitures…),
quatre options s’offrent à nous :
° ne pas jouer ce jeu, créer le style de vie voulu (par exemple, cultiver nos graines et légumes naturels entre voisins éveillés, ne plus aller dans les magasins, ou y aller avec un émotionnel totalement apaisé).
° jouer à « je m’en fous de la/ma nature » et tenter de gagner : consommer tous les produits industriels sucrés, beaucoup de viande, faire du sport au taquet, s’enrôler dans une guerre ou guérilla, se maintenir en compétition constante face à la déchéance subtile induite par ces aliments, obtenir temporairement un corps puissant en envié…
jusqu’à l’éventuel accident de sport ou de guerre, vie de couple sclérosante, maladie, fatigue…
Dans un parcours sans obstacle, la vie guerrièro-sportive de haut niveau, à base de tout ce que l’alimentation artificielle et viandarde peut générer d’aliments efficaces pour ce but de vie (jusqu’aux additifs facilitant l’hyperactivité et l’insensibilité), donne un sentiment de toute puissance en regardant autour une population grabataire.
Mais c’est un sentiment de domination qui cache le fait d’être soi-même dominé par la technoscience et une organisation guerrière antinomique d’une vraie liberté.
On peut aborder l’activité physique sans esprit de domination spéciste ni interindividuelle, dans une quête d’harmonie et non de performance guerrière.
° jouer au bon soldat, au mec viriliste, comme précédemment, mais manque de bol, en pedant : développer diverses maladies ou nourrir celles préexistantes. Diabète, mycoses, cancer, caries, ostéoporose, virus et bactéries pathogènes variées…
° perdre délibérément (suicide par la malbouffe, lent et pas vraiment assumé).
Restent quelques situations où il vaut mieux manger du sucre que mourir.
Exemple 1. en haut d un échafaudage, crise d’hypoglycémie, rien d’autre à manger (ou pas le temps de se reposer pour digérer une collation plus dense).
Exemple 2 : quand un remède homéopathique bien ajusté requière de sucer du sucre.
(L’homéopathie est efficace, si on a un bon thérapeute, un bon produit homéopathique -fabriqué dans un laboratoire sérieux (ce qui ne veut pas dire connu).
Mais déjà, trouver un homéopathe qui ne se serve pas symptomatiquement de l’homéopathie, est chose ardue.
Les conférences du Dr. Agnès Flour tentent d’apporter des savoirs homéopathiques de haut niveau, autour du concept de psore).
J’ai longtemps cru que le sucré était un outil pour compenser une carence affective.
Alors oui, après le décès de mon père, j’étais tellement à bouts, au boulot, que je ne me privais pas de manger sucré si l’envie m’en prenait.
Mais j’aurais surtout du démissionner, étant donné qu’on me maltraitait, et que du fait de mon chagrin, je ne le voyais pas clairement.
Les barres sucrées du distributeur n’ont ni amélioré ma santé physique, ni psychique puisque m’ont aidé à « tenir » là où j’aurais eu intérêt à lâcher.
Voyons cette croyance de plus près.
Carence affective ?
C’est un point de vue nocif en lui-même.
Ce n’est pas faux de dire que beaucoup d’entre nous n’avons pas reçu tout l’amour inconditionnel dont nous avions besoin pour spontanément nous épanouir.
Mais ça n’avance à rien, et ça crée une image de vide à propos de nous-mêmes. Vide que l’on va chercher à combler, par du sucre, du gras, du salé, des écrans, du sexe sans cœur, des drogues encore plus dures que le sucre, etc.
Comment je gère mon rapport aux envies de sucré ?
NB. Invitation à estimer par et pour vous-mêmes si ça peut être intéressant pour vous ou pas : il n’y a aucun intérêt à appliquer quelque chose (lu ici ou ailleurs) qui ne vous conviendrait pas.
envie de sucré ?
-> autorisé (par moi, pour moi), sans sentiment de culpabilité (il n’est plus le bienvenue), mais différé d’une minute. Minute durant laquelle une mini méditation va permettre de faire émerger si l’envie se maintient ou se transforme. Réponses fréquentes issues de cette méditation :
* manque de protéines au précédent repas, épuisement, besoin de mini repos et manger sain très bientôt,
* j’ai subtilement perdu ma motivation de vivre et cherche à subtilement faire reculer la vie en moi –> retrouver ce qui me raccroche au plaisir de vivre ici et maintenant, même si je suis en train d’accomplir une tâche pénible,
* l’ego veut contrôler le plaisir immédiat car il ne contrôle pas la situation présente –> lâcher-prise,
* je n’arrive pas à déterminer la cause de l’envie. donc soit je peux méditer plus, soit je mange le truc sucré qui faisait envie, soit je vois si une autre distraction de la souffrance existentielle du moment est possible (sieste, visionnage d’un documentaire inspiré, coup de fil à un.e ami.e, marche sur un chemin entouré d’arbres…)
La marche est quasiment toujours excellente dans cette situation, car fait passer les fausses faims ou confirme les vraies, libère la tête, et remet beaucoup de choses en place.
Autres glucides
Les glucides lents***
Manque de céréales et de légumes farineux dans nos habitudes ?
–> risque d ‘envies sucrées
Excès ?
–> acidification et quasiment les mêmes effets que le sucre rapide.
L’excès est très vite atteint en cas de (néfaste) vie trop sédentaire.
*** NB c’est beaucoup plus complexe que rapide / lent, concernant les glucides. cf. l’index glycémique et tant d’autres apports nutritionnels qui différencient des aliments contenant des glucides.
(La pomme de Terre nature contrebalance un peu l’acidification, mais en abuser acidifiera quand même).
L’acidification de notre sang est une forme d’auto digestion de nous-mêmes (donc nocif).
Tout excès, ou tout acide en excès, stress, peu acidifier.
Le citron frais, pressé par nos soins, est certes très acide mais très utile pour une journée style détox. (Donc non acidifiant lorsqu’utilisé aux bons moments, et en rinçant les dents à l’eau ou à l’eau bicarbonatée ou salée juste après).
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(suite) Les protéines
Les protéines intéressantes
(suggestions non exhaustives
– et sauf allergies ou intolérances individuelles)
° poudre de chanvre alimentaire,
° graines diverses (se renseigner sur leur aminotype ou les varier suffisamment pour tenter d’éviter une carence).
° lentilles germées (crues et/ou un peu cuites), le blé germé (Bon marché, facile* à faire soi-même, nutritivement riche).
° tofu lacto fermenté, tempeh,
° en complément, des oléagineux locaux et crus (modérément). spiruline fraîche,…
+ surveiller qu’il n’y ait pas de carence en Vit. B12 et en fer.
Selon l’état de détox du corps, habitudes, capacité digestive… si le végétal ne suffit pas :
° œuf (jaune extra frais peu ou pas cuit ; blanc cuit), voire poisson, (voire viande).
* il faut néanmoins une bonne hygiène et connaissance d’un procédé valable. A titre d’exemple, mes lentilles germent dans un support de grès et d’inox ébouillanté après chaque utilisation, et avec un taux d’humidité adapté à la saison, pour éviter toute moisissure (ou dessèchement).
NB. des graines fraiches germent quasiment toutes (au contraire des stocks vieux et/ou irradiés).
NB. en cas de besoin de réduction des fibres, utiliser un extracteur de jus des graines germées les plus dures
NB. tout germe ne se mange pas. Typiquement, celui de la pomme de Terre qui est toxique.
(Trop de protéines : problèmes articulaires et autres)
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Qualité des aliments
Des aliments sains pour… ?
pour soi, pour la planète, pour l’agriculteur (qui s’empoisonne avec les poisons qu’il épand quand il travaille en « conventionnel »).
éviter pesticides, irradiations, additifs, … bref choisir des produits frais locaux non traités non transformés (labellisés ou pas si on peut avoir confiance dans le producteur non labellisé).
Ce n’est pas une histoire de classes sociales ni de bobos.
c’est une guerre : la désinformation, des réseaux d’influence très puissants, veulent qu on mange des substrats industriels pour des raisons opaques mais profondes.
C’est une question de santé et d’avenir du biotope.
C’est une question d’impact sociétal (la nourriture peut énerver, agiter, calmer, nourrir, déprimer, reconnecter à la vie… selon ce que l’on ingère et dans quel état d’esprit).
En Catalunya, j’ai visité une communauté ouvrière très pauvre. Mais leur repas collectif était 100% issu de produits sains non traités chimiquement. Comment ? En troquant certains services avec des paysans bio du coin, et par une organisation communautaire permettant que tous bénéficient de ce troc.
Certains avaient pour capital personnel seulement quelques vêtements, un vélo, très peu d’argent… mais tous mangeaient bio, pour leur santé, par cohérence avec leurs convictions (héritage anar de 1936 ?).
Alors quand quelqu’un qui a de quoi se payer une voiture, du streaming, un smartphone pas fauché… me dit qu’il n’a pas les moyens de manger bio… c’est plutôt qu’il ne partage pas la conviction qui pourrait l’amener, nous amener collectivement, à une toute autre organisation de la vie, pour réellement nous offrir l’essentiel.
En outre, certains produits sont moins cher en bio dans un magasin bio, que des produits non bio dans un supermarché (par exemple certains fruits, mais pas que).
L’image que l’on s’en fait
J’adore, non pas les produits, mais le nom de la marque « Reflets de France ». Je trouve ce mot explicatif d’une partie de la mentalité contemporaine : à défaut d’avoir le vrai, en avoir le reflet : ce qui y ressemble.
Une des raisons pour lesquelles on a une agriculture polluante, parfois toxique, c’est que l’on se fie à la forme : une pomme est-elle meilleure si elle est énorme, brillante et parfaitement lisse ? non !
Ce n’est pas parce qu’un aliment a à peu près gradé sa forme physique, dans un plat, dans une conserve, qu’il est sain. Nous avons besoin d’aller à la rencontre des énergies des fruits et légumes vivants (crus, labellisés Bio ou de qualité au moins équivalente) -parmi ceux appropriés à notre capacité d’assimiler le cru, notamment les fibres).
C’est exactement comme avec les réseaux sociaux : ce n’est pas parce que je parle avec un ami dont je vois la photo, que je suis réellement en contact avec cet ami, même si sa photo reflète bien sa forme physique.
Il se peut que je sois spirituellement en contact avec un ami éloigné même sans être en contact via un réseau social ou un quelconque appareil.
Mangeons et relationnons en conscience 🙂
(suite) Réflexions diverses
Astuces diverses
° #manger un aliment après l’autre (moins c’est les gouts sont enchevêtrés, plus on discerne les aliments qui nous renforcent ou nous affaiblissent, et mieux on distingue les aliments à consommer en phase détox et ceux à consommer en phase active).
Typiquement, une crème soja sucrée, avec 11% de sucre dans la composition nutritionnelle, semble peu sucrée. Mais étant donné que le produit est plein d’eau, on en mange très vite 200g, soit 22grammes de sucre; 22 grammes c est beaucoup plus que si on avait consommé une crème soja nature dans une sauce salade, salée donc, puis qu’on avait dégusté une cuillère de confiture seule. 22g c’est autant de sucre qu’un gros biscuit sablé pâtissier de 69g sucré à 32 % dont on se rend plus facilement compte qu’il est non diététique.
NB. les crèmes dessert laitières sont souvent encore plus sucrées que les crèmes sojas sucrées.
° manger à température ambiante (le froid masque le gout du sucre et de divers additifs)
° manger avec plaisir, mais pas avec la personne défaitiste qui raconte ses malheurs, ni celle enthousiaste qui nous fait oublier ce qu’on mange (cette personne pouvant être physique, ou juste la petite voix du « mental » dans notre tête) :
manger en conscience.
° Le menu typique fast food est assez futé (mais ceci n’est pas une recommandation de le consommer) :
pain sucré qui ouvre l’appétit et fait avaler la viande sans trop considérer son goût.
frites salées. Le sel fait passer le gout du gras utilisé -pas si réellement agréable que ça, quand on goûte de près-.
la pomme de terre a un rendu digestif basique et appelle inconsciemment une boisson acide, un soda, et une sauce tomate (acide).
le sucre contenu dans l’un et l’autre rouvre l’appétit pour manger plus de frites. L’acide aide à digérer ce qui s’appelle viande.
cf. divers ouvrages existants, sur l’équilibre acido-basique, pour savoir associer les aliments
° manger régulièrement, avec plaisir, de petites quantités de malbouffe, ou boire de minuscules quantités d’alcool ou vin de temps à autres, pour continuer de savoir les digérer et ne pas « mourir » (lol) lors d’un repas chez des amis spécialistes de la malbouffe.
-sauf contrindications spécifiques-
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Les gens qui se nourrissent de #lumière, est-ce vrai ?
Nous ne mangeons pas que des molécules en vue de satisfaire une équation de chimie. Nous nous nourrissons aussi de couleurs, d’intentions, de pensées, de joie, d’informations diverses, (peut-être un jour d’azote contenu dans l’air ?)…
Pour autant, je n’ai à ce jour pas encore pu vérifier par moi-même si l’alimentation totalement pranique (respirienne, énergétique…) est une réalité ou un fantasme.
Je crois possible que l’on se nourrisse moins matériellement, et davantage spirituellement, en fonction d’un degré d’éveil.
Donc l’idée que l’on se nourrisse d’un certain pourcentage de prana, pourcentage résultant d’un chemin inté-rieur, est une idée que j’aimerais approfondir. Mais je n’écoute pas tout ce que mon ego spirituel veut orgueilleusement croire et voudrait anachroniquement acquérir. Donc je ne recommande pas de dépenser un seul centime, ni de prendre le moindre risque sur sa santé pour tenter de devenir ce qu’on n’est pas (un humain capable de ne plus manger) et pour enrichir quelques vendeurs de rêve.
Côté témoignage : j’ai reçu un soin de reiki par une personne proclamée pranique, et je n’ai rien ressenti : ni durant le soin, ni en présence de cette personne, ni après le soin.
Argent (de la consultation) mal investi…
Au contraire, un jour où je venais, en avance, découvrir un cours de Chi Gong, dans une salle remplie de monde, je n’ai pas eu besoin que le professeur se présente pour savoir que c’était lui qui entrait : il quasi-rayonnait une énergie prodigieuse.
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santé
ABC TALK – Pr Philippe HUMBERT (invité par Pr JOYEUX) – MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN
L’ #agriculture
* Partie en construction , en attente d’être complétée puis relue *
Les agriculteurs sont-ils des gens simples, les militants écologistes sont-ils des écoterroristes ? voila une question que je pourrais me poser en écoutant la médiocrité de nombreux journalistes.
Ma réponse :
Que ferait une personne simple pour faire pousser ses légumes ?
Par exemple elle étalerait du fumier, ou du purin d’ortie. C’est à dire des préparations accessibles sans faire de hautes études.
Que fait un agriculteur conventionnel ? Il épand le fruit d’une recherche technologique de pointe, issu d’usines pétro chimiques de l’armement. Il épand des intrants qu’il est incapable de produire sans créer des usines « de la mort qui tue » qu’il est incapable de concevoir et mettre en œuvre sans d’énormes capitaux.
Il est donc plus juste de dire que l’agriculteur conventionnel (celui qui utilise des intrants chimiques) n’est pas représentant d’une profession simple, il est le maillon d’une industrie complexe et capitaliste.
Ensuite, il existe une agriculture évoluée qui sait combiner différentes cultures, tenir compte du sol, du climat, des humains sur ces terres… (mais je ne suis pas spécialiste de ce domaine. Mieux vaut prendre un livre sur la permaculture).
Que voudrait dire éco terrorisme ? –> tuer des innocents au nom d’une cause écologiste. Est-ce qui se produit ? Non.
Ce qui se produit est que le mot écoterroriste est prononcé par des des politiciens favorables aux intrants qui tuent les sols, les abeilles, bref la vie, à l’encontre de militants qui essaient de préserver la vie (ils le font habilement ou maladroitement, cela est secondaire).
Les accusations d’écoterrorisme sont généralement l’exemple typique de la désinformation médiatique de masse, et illustrent parfaitement « la vision en quasi miroir« .
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