Contexte et intention de cet article
Expression d’un malaise multi dimensionnel et envie de récolter de l’intelligence collective.
Contrairement aux pages du site (hors blog) qui sont lues et relues avant publication, j’ai ici livré un « premier jet ». J’ai reçu une réponse immédiate d’un ami (premier commentaire) et je continue la réflexion dans le(s) commentaire(s) suivant(s). C’est donc au final une démarche empirique et holistique à partir d’un thème (le survivalisme) qui se révèle être absolument secondaire une fois tirés au clairs diverses peurs et motivations préconscientes.
Ce jour, ami.e, au risque que ça soit une pensée que tu aurais préféré que je ne partage pas, voici ce qui m’anime :
J’essaie d’évaluer si on est au bord d’un effondrement sociétal de type guérillas de rue et abus des forces armées endoctrinées et débridées, face à diverses pénuries ou inflations voulues par des ploutocrates, ou les E.T. qui nous auraient peut-être fabriqués en laboratoire jadis, pour qu’on les serve (mais on est trop rebelles ou trop matérialisto-destructeurs du Jardin, pour pouvoir s’attendre à continuer à nous développer et multiplier, sans retour de manivelle diluvien ou autre).
Vu les technologies, vu leur pouvoir de mensonges médiatiques et pseudo scientifiques, vu l’essai grandeur nature qui a été fait avec le prétexte du COVID pour nous contraindre, vu l’absence d’analyse politique et stratégique du citoyen.ne moyen : on peut imaginer, pour bientôt, des drones tueurs pour contenir ou diminuer la population qui ne se sera pas soumise au crédit social et aux couvre-feux.
Faut-il s’organiser en prévision, créer des jardins vivriers dans chaque quartiers et les protéger manu militari en vue qu’ils puissent servir à nourrir équitablement chacun.e en cas d’effondrement, ou mieux, en cas de boycott de la grande distri et du « système » en général ? Mais rentrer dans la collapsologie, c’est souvent nourrir l’égrégore dudit problème envisagé. Donc non merci.
Notamment, plusieurs mouvements qui se préparent à l’effondrement ne font pas envie, je pense à certains avec des idées bornées territorialistes, dogmatico-religieuses, et xénophobes. Mais l’extrême droite survivaliste n’est pas plus idéologisée que le moindre spectateur quotidien du JT, ni plus prosélyte que d’autres religions réacs qu’il n’est même pas possible de citer sans se faire étiqueter par des a priori clivés).
ha oui… complexe.
Que faire ; se centrer sur une foi ? cultiver la pensée positive ? bahhh il n’y a pas de soleil sans ombre… même si j’estime que refocaliser sur le positif est utile pour rééquilibrer une trop grande part de négativité (style celle qui conduit à rédiger les deux premiers tiers de ce texte).
En vrai, je cherche la justesse et la rémission de mes traumas (sans faire allégeance à des thérapeutes, car j’en ai payés beaucoup trop à mon goût dans ma vie, pour pas vraiment guérir mieux que seul en méditant et faisant de la randonnée, et pour -en prime !- subir de nouveaux traumatismes issus de leur incompétence et vanité illusoire à prétendre savoir s’attaquer à certains thèmes forts, probablement karmiques au delà de la présente incarnation).
Et plus je surmonte d’anciens traumas, plus je comprends cette société traumatisée elle aussi globalement, et donc plus j’ai de probabilités d’agir juste en elle.
Je crois juste de laisser entrer l’amour, mais pas l’amour -dépendance des films, des chansonnettes et des vendeurs de diamants : je veux parler de l’amour qui voit et est conscient. L’amour, pas le narcissisme des smartphones ni l’auto apitoiement des discussions de pallier : l’amour solidaire (sans rôle sauveur non plus).
Voila, ami.e, si ce questionnement te parle aussi, je serai ravi d’échanger à ce propos ou même à un autre propos, tant que c’est avec sens et pas pour remplir la vacuité, ni nourrir nos peurs.
En attendant, je médite lorsque ça m’est possible, écoute des documentaires variés et axés vers le credo d’une émancipation possible de l’humain. (Gare au cynisme et au découragement, qui fluidifient nos défaites ensuite dans la vie).
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