« Apprenez que tout #flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute » dit la fable, (peut-être écrite par Lafontaine).
Lorsque le flatteur n’est pas autrui; mais notre mental (la partie calculatrice et limitée de notre esprit);
aux dépends de qui vit-il ?
Pourquoi se flatte-t-on ?
Notamment pour compenser les dégâts causés par les idées rabaissant notre #estime de nous-mêmes :
ces phrases rabaissantes qu’on nous a dites (« tu es nul.le, tu vaux 5/20 en maths… »)
Pour taire l’impact de ces phrases, il arrive que l’on se persuade qu’on est génial.e, doué.e …
Mais cela est #flatterie. En réalité nous sommes qui nous sommes.
Peut-on vraiment gagner ou perdre quelque chose dans une transaction entre deux parties de nous mêmes ?
Et même avec autrui, des lors que l’on se rend compte que l’autre, c’est nous ?
Rien à perdre ni à gagner, mais il peut néanmoins y avoir une routine, une dépendance…
Notre véritable estime ne se nourrit pas de flatteries.
Qui se nourrit de ces mensonges nous présentant comme ceci ou comme cela ?