Bonjour.
Cet article diffère des autres : au lieu de présenter mes réflexions, voici mes interrogations, à propos de sujets sur lesquels j’adorerais récolter des partages d’expérience, des conseils sensés, ou tout ce qui pourrait m’aider / nous aider les uns les autres à trouver un groupe tout en nous trouvant nous-mêmes.
- Quand on n’est pas intégré dans une écovillage, comment se trouve-t-on, comment se relie-t-on »
- Faut il payer un stage d’immersion à l’écolieu Sainte-Camelle ou à un autre acteur du réseau Oasis ?
Ces stages sont-ils le symptôme d’une normalisation (voire d’une marchandisation) des écolieux ? - Faire de multiples expériences en woofing est une piste qui rencontre du succès. Mais si on n’a pas une super santé pour le faire… faut-il se rendre à l’idée que ce n’est pas un milieu pour tous ?
- Faut-il être riche pour cocreer un habitat agréable et juridiquement stable ? Au final, est-ce un milieu excluant ?
- Quand on a fini par intégrer une néo famille, un écovillage, reste-t-on le/la même ou change-t-on radicalement de personnalité ? (appel à témoignage)
- Les groupes qui fonctionnent doivent-ils avoir une foi ou une philosophie partagée de tous ?
Faut-il être dans l’entre soi ?
(par exemple anti systeme anarko punk, ou bobo, ou non sco, ou dématérialisé 5D, ou collapsologue, ou chrétien pratiquant, ou lgbt, ou acète, ou fêtard non stop…)
Je me pose d autant plus la question que je suis touche à tout, et souvent pas assez jusqu’au boutiste aux yeux de certains, quand que je visite un groupe déjà constitué autour d’une idée.
(Et lorsqu’il n y a aucune idée, juste le « travailler-jouer-manger-dormir-reparer l’habitat » sans philo ni foi… j’ai du mal à m’intéresser au groupe).
C’est un vrai challenge que j’espère surmonter… au gré de nouvelles visites et partages.
Pour préparer mes visites, je pense parcourir les petites annonces de la revue Passerelle éco.
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