Le #projet laïque contre le stress existentiel

Peur du vide existentiel –> remplissage simple

Étape positiviste « de survie » : se raccrocher à une idée salvatrice, à un sens.
effets facilitateurs : stabilité psychique.
effets discutables : enrôlement.

Conf de Serge Marquis

(si qqn a une conf plus courte pour aborder les memes sujets, je suis preneur merci)

Le projet religieux contre le stress existentiel

Peur du vide existentiel –> peur d’être récupéré par le néant ou par le mal –> raccrochage à un dogme dont le marketing repose sur cette peur –> projet gagner des points pour alléger un karma ou aller au paradis

Le projet associatif

source probable de l’image https://oasis-des-3-chenes.fr/

Le projet outil d’ingénierie sociétale

Conférence de Franck Lepage

Le projet électoral

Au cours des dernières décennies, a servi à mettre en place des présidents et assemblées capitalistes au pouvoir, en faisant croire qu’elles allaient défendre aussi la solidarité et l’intérêt commun. (Exception à nuancer de 1981 à 1982 et voir aussi le travail non médiatisé de certaines collectivités territoriales qui mènent parfois une vraie politique d’ouverture).

Le projet est issue d’une vision subjective

rajout sept 2024 sur ce sous-chapitre

Un projet est issu d’un constat, et ce constat est lié à l’histoire et à la perception subjective de la réalité du porteur de projet.

On ne peut donc pas améliorer le projet d’autrui.

Soit on partage le même mythe, et tant qu’on fait tous semblant d’y croire, ou qu’on y croit vraiment, on peut travailler ensemble vers un même but apparent.

Mais ce but est toujours une chimère.

On ne peut pas arriver sur le projet d’autrui et l’améliorer parce que le projet d’autrui est la résultante de sa croyance.
Il est courant qu’on croie améliorer une situation mais qu’on soit en train de prendre le dessus idéologique sur autrui. Et tout cela pour quoi ; pour que notre ego brille dans le royaume du faux ? Qu’apporte t on vraiment en agissant ainsi ; que voudrait-on réellement ?

Le non projet

Acceptation existentielle –> pas besoin de subterfuges

(à vérifier : livre de J Klein « la joie sans objet »).