m à j nov 2024 a

Des métiers libérateurs, pour sortir des rôles toxiques

On peut réenclencher la créativité. Exemples :

Un.e boulanger vend a priori des céréales cuites, mais iel peut vendre aussi du blé ou de l’épeautre germés, donc riches en vitamines et en enzymes.

Un.e #enseignant.e répète a priori un savoir figé, mais iel peut amener les élèves à observer par eux-mêmes la nature, leurs émotions, la vie.

On peut apprécier des soirées entre ami.e.s, mais on peut communiquer avec des inconnu.e.s si on le veut. On peut échanger des banalités, ou parler de ce que l’on ressent vraiment.

La #musique enregistrée permet d’écouter toujours les mêmes mélodies, interprétées par des artistes virtuoses, mais on peut s’essayer à la musique soi-même, sans attentes autre que l’expression de soi, l’écoute du cœur, le jeu, ou le partage avec d’autres.
(Cela étant, ce que l’on va choisir d’écouter, l’harmonie ou la disharmonie que cela va générer, a une influence dans notre santé ; tout comme ce que l’on va jouer, indépendamment de tout talent musical, peut être chargé d’une énergie ou d’une autre : qu’est-ce qui sort de nous ?)

Quelques rôles joyeux

La #diversité (le non #conformisme)

Toute croyance, loi, coutume, rumeur, ou action qui vise à amoindrir qui nous sommes, est une violence non seulement personnelle, mais collective aussi, puisqu’elle tend à détruire la diversité.

La (bio)diversité est précieuse.

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