Quelques phrases qui m’ont aidées
Ce sont des phrases qui me sont venues, ou des phrases que j’ai personnalisées à partir d’autres phrases entendues ou lues.
NB. Elles NE sont PAS école !
Je les partage parce que peut-être elles peuvent réveiller quelque chose d’authentique quelque part, quelque chose de potentiellement universel.
Ces phrases en elles-mêmes ne sont PAS un carburant, a fortiori pas un carburant universel : elles sont juste un levier le temps de déplacer une « charge lourde ». Cf. la réflexion critique menée précédemment.
En cas de malaise, cf. la page °Haut-secours°.
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En réaction à mes douleurs →
Merci pour l’information que quelque chose dysfonctionne dans mon corps.
Merci pour tout ce qui est en bonne santé. Je célèbre tous les moments de santé que j’ai connus, je célèbre la vie en moi, je suis attentif à la santé qui est de retour en moi. J’accepte la joie spontanée comme célébration de la vie.
Je suis perméable à l’amour, sous tous ses aspects, et à tous les niveaux de profondeur et de subtilité de mon corps.
Je suis protégé, entouré d’un corps énergétique sain.
J’invite ce qui n’est pas là pour mon plus haut potentiel, ma plus haute santé, ou qui simplement n’est pas à sa place, à me quitter et à suivre ses propres guides, à se rendre là où ça remettra de l’harmonie dans l’univers. S’il s’agit de pensées nocives, je les replace là où elles ne feront plus de mal.
Je fais place à mon authentique moi, à la source de mon être..
Je souhaite que l’énergie en moi se redirige là où le besoin de guérison l’appelle,
(sous-entendu : plutôt que l’énergie reste bloquée dans de la haine,
ou dans de l’attachement matérialiste).
Je m’autorise à m’ouvrir à la vie, et à me sentir « bien ».
Je suis vivant.e et parfait.e dès à présent
(dans la mesure où mon cheminement pour me défaire des anciens mensonges,
et pour apprendre à aimer inconditionnellement,
fait partie de cette perfection).
Je ressens l’eau, le feu, la terre, l’air, les minéraux, les forêts, les animaux, la beauté, les galaxies, Terre…
Une saine l’énergie circule en moi avec harmonie.
Ici et maintenant, je suis reconnaissant.
Je m’aime (avec humilité). J’accepte ma propre existence (cela m’aide à accepter l’existence d’autrui).
Je m’autorise de l’indulgence et de l’authenticité.
J’agis avec justesse.
NB1. Je ne prétends pas que l’énoncé de telles phrases dispense d’agir pour notre santé.
NB2. L’obsession pour les #pensées positives est parfois comme un bug de notre mental, qui s’accroche à un concept par peur d’en affronter un autre (notamment une croyance jadis forgée dans la peur).
Cependant, ces formulations #positives sont parfois une des meilleures stratégies pour que notre mental se rallie à la défense de notre santé, voire à l’envie de rester en vie.
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D’autres phrases :
Lorsque j’ai souffert suite à la perte d’un être cher
→
Merci pour l’amour que cette personne a éveillé en moi.
Lorsque je me suis senti dans une solitude inouïe
→
Merci pour les expériences de vie qui m’ont apprises ce qu’est être entouré.e de manière satisfaisante, qui me donnent envie de goûter à nouveau à de tels sentiment de complétude. Merci pour ma vie.
Lorsque j’avais envie de hurler de douleur, sans y arriver
→
Merci pour cette mise en lumière d’émotions censurées en moi.
Merci pour mon éducation, qui a fait de son mieux, mais désormais, je m’en émancipe : je lâche mon apprentissage (à me taire) et j’accepte ce qui est en moi,
je l’exprime en toute sécurité (en protégeant mon corps ainsi qu’autrui, en permettant l’expression de ce qui en a besoin, des émotions qui affleurent à ma conscience, toutefois sans en nourrir la flamme).
Ici et maintenant, je permets à l’amour de circuler et d’atteindre toute ma lignée, quelle que soit l’époque : je suis en paix avec mes ancêtres ;
je regarde sans haine et lâche toutes les anciennes peurs et querelles humaines afin d’être présent à la paix, et cela jusqu’au cœur de chacune de mes cellules.
J’appelle les forces (ou énergies) du bien. A votre bon vouloir.
NB Cette phrase ne signifie pas qu’il existe un camp de l’ombre (du mal) et un camp de la lumière (du bien).
Peut-être est-ce le cas, mais je n’en sais rien.
Un jour cette phrase m’a soulagé l’angoisse existentielle, et je l’explique ainsi : une partie de moi croyait à ces forces. Depuis quand, je ne sais pas, mais c’était à une période où je regardais beaucoup de films avec des personnages représentant le bien, affrontant des personnages représentant le mal.