m à j : août 2024 v2
Voici les trois menus opérationnels pour accéder à mes analyses, mais SVP lire l’introduction qui se poursuit sur cette page, au moins une fois avant d’accéder à l’ensemble des écrits :
Textes patiemment élaborés
Textes temporaires
Pour bien comprendre ma démarche, voici mes intentions :
- Rechercher de la pertinence dans l’observation du monde (avec l’espoir de contribuer à co-résoudre des problèmes* majeurs de cette société (*industriels, guerriers, économiques, idéologiques, et de gouvernance).
(Cela, avec toutes les limites inhérentes à ce qu’est ma compréhension évolutive de ce qu’est une société saine).
Pour la recherche de causes, ma démarche est … (cliquer)
… d’expérimenter, de m’investir, dans diverses lectures ou rencontres politiques, spirituelles, ou associatives, et de sonder mon sentiment profond de justice via l’intuition et la raison.
Je me base sur une observation de plus en plus fine
(au fur et à mesure des expérimentations et de l’abandon de mes schémas de pensée obsolète, ou du détachement des mémoires traumatiques).
Du fait de cette liberté, les réflexions menées ici ne se raccrochent pas nécessairement aux poncifs habituels, voire les contredisent.
Au fur et à mesure que j’identifie des contenus pertinents et en accès libre, je les intègre dans ce site. NB. Le blog n’est pas encore arrivé à maturité : il ne reflète pas encore l’éclectisme souhaité.
(Mener une réflexion propre est peut-être une illusion, dans un tel monde inspiré).
Je relie les thèmes autant que possible. (L’inverse d’une scolarité et de métiers segmentarisés).
- Montrer le côté illusoire des prétendues vertus de la guerre, plutôt que de promouvoir une pseudo-paix dogmatique.
(cliquer pour plus d’explications)
Avez-vous déjà essayé de faire sortir une mouche ? Elle semble vouloir sortir, puisqu’elle tente de franchir les vitres extérieures ; mais lorsqu’on lui ouvre une fenêtre, elle sort rarement, et meurt enfermée.
L’un de mes buts, dans ce blog, est de montrer les vitres fermées que je décèle, afin d’aider à ne pas s’y agglutiner, pour continuer de chercher notre vraie lumière.
En outre, afin de ne pas mettre en avant une fausse lumière dont je serais encore épris (car ma maturité se construit peu à peu), j’évite d’apporter des solutions, j’incite à maintenir notre réflexion et notre quête d’informations subtiles.
- Offrir : cocréer une société dans laquelle :
° on achète un cours si on le désire, mais dans laquelle on ne reste pas privé de clefs intellectuelles collectives faute d’argent.
° on prend un guru ou un coach, on écoute les médias payants et/ou manipulés, on rejoint une institution gnostique… si on le veut, mais pas pour cause de manque d’accès à une nourriture spirituelle libérée de toute allégeance à une autorité extérieure.
Lorsque je le peux, je présente des outils libres, en accès gratuit, et indépendants de mes opinions subjectives.
L’outil le plus central proposé sur ce site est le regard en miroir. Ce n’est pas un outil appris ailleurs et reproduit ici, mais une personnalisation de divers outils, après les avoir testés des années durant, et compris étapes par étapes.
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Mes écrits contiennent beaucoup de mise en lumière de fausses réponses sociétales à de vraies questions existentielles, sans pour autant remplacer les anciennes évidences illusoires par les miennes.
Cela comporte un danger que de dénoncer des impostures, car certaines personnes sont pétries de désir de vengeance.
On le voit avec divers réseaux sociaux qui dénoncent (ou inventent) des corruptions et divers coups tordus de la société : les commentaires des lecteurs sont parfois ultra violents (de même que les commentaires sont parfois ultra violents sous des articles des médias dominants). Je ne souhaite pas encourager une vindicte populaire.
Je souhaite m’appuyer sur les deux jambes que sont l’esprit déductif non complaisant, et la quête de paix (l’énergie du cœur).
A partir du constat de violence latente présente dans la société, j’ai envisagé de m’auto-censurer : de supprimer le partage public de nombreux passages critiques de mes textes.
Pour le moment, l’accès y est possible.
Lorsque j’en aurai l’énergie, je referai une Énième relecture et correctif apaisant de mes écrits, en vue de rehausser la proportions de considérations pacifistes et d’outils émancipateurs neutres.
La capacité à critiquer me semble nécessaire à une vie pleine et épanouie, c’est pourquoi je n’ai pas l’intention de supprimer toutes les compréhensions auxquelles l’esprit critique m’a permis d’accéder.
Je considère que les compréhensions issues de la stupeur, de la critique, de l’émotionnel coléreux, sont une information mentalement libératrice, mais indignes de d’être le moteur de mes actes (à partir du moment où je veux agir en paix).
Autrement dit, le fait de dénoncer une imposture sociétale ne signifie pas que la solution à cette imposture soit d’annihiler cette imposture, ni les humains qui en usent :
les observations critiques ne servent qu’à cesser de nous auto illusionner. Ensuite, l’action pacifique porteuse, requière une profonde méditation et réflexion, pour répondre avec cœur et discernement.
Exemple typique de ce site : vous trouverez une critique de l’État républicain qui ne vise absolument pas à détruire l’État, mais juste à arrêter de nourrir des fantasmes dangereux à son égard -dans le but de délaisser les conduites moutonnières délétères qui découlent de ces fantasmes.
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Le plus émancipateur est la démarche par laquelle chacun.e apprend à ressentir et penser par soi-même.
Plus émancipateur ne veut pas dire plus juste, ni plus vrai :
parfois, les conclusions d’un expert, des enseignants de l’institution scolaire, les auteurs, chercheur, philosophes, peuvent être arrivés à une capacité d’analyse bien plus fine que les conclusions d’une personne qui a survolé un sujet, qui a peu de recul vis à vis de ses émotions, qui est endoctrinée, etc.
Mais la quête d’émancipation reste à mon sens corrélée à la démarche de paix, dans le sens où a contrario, l’habitude de la soumission (aux idées toutes faites, aux egos dominants, aux organisations humaines armées…) ne propose que le calme du carcan -qui n’est pas une paix libre et responsable.
Ci-après les textes antérieurs qui servaient d’ #introduction au livre.
#Mail de #contact de l’auteur :
(à réassembler, et enlever les lettres y) : bonjour
yy@
intuitionaction.org
(Les commentaires sont modérés a priori afin de préserver une trajectoire nécessairement bienveillante).
Ci-dessous : mise à jour janvier 2024
ou version texte
m à j : 01/2024
Bonjour,
j’ai le plaisir de vous souhaiter la bienvenue.
Je me prénomme Barthélémy, je suis l’ #auteur de ce texte que j’offre pour contribuer à l’intelligence et au cœur collectifs humains.
Aucun service ni produit marchand proposé, à l’exception d’exemplaires papiers.
Ce récit est un partage d’observations autour de deux thèmes principaux :
> la préservation de notre santé, notamment spirituelle et psychique, dans la joie de ressentir la vie en nous et de faire partie d’elle,
> la préservation du monde naturel, dans la joie de la coopération autour de projets sensés.
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Je souhaite commencer ce partage par le souvenir de mes parents et de mes professeurs, que je remercie. Ils m’ont inculqué des savoirs, mais souvent avec l’attente que je me comporte selon leurs attentes.
C’est une des raisons pour lesquelles je ne souhaite pas apporter de pensée-étau (dogmatique).
Il y a eu aussi, de manière plus libre, des livres et des rencontres providentielles, qui m’ont fourni des aides pour cheminer du mieux possible dans la vie, sans exiger quoi que ce soit en retour.
Ces livres, et ces rencontres, furent tels des cairns : ces tas de cailloux que l’on trouve au bord des chemins de randonnées, déposés par les personnes passées là avant pour indiquer le sentier. Ils nous laissent toute latitude de ne pas les suivre, de parcourir la montagne comme on le souhaite.
A mon tour, je partage mes observations en tant que promeneur expérimentateur, et non pas en tant que gardien d’un savoir figé.
#Précaution de lecture (pour l’ensemble du site) :
le regard désillusionné que je porte (sur divers mythes de la vie en société) est mon quotidien.
Je t’invite, ici ou avec d’autres auteurs, à ne pas aller plus loin que ton ancrage le permet.
NB. Derrière ce blog, il n’y a AUCUNE organisation, ni personne isolée, pour vous proposer des #stages, des services, des produits (hormis un projet payant de tirages photos et d’impression des textes).
Il n’y a aucune sollicitation à intégrer un système de valeurs, un groupe, ni quoi que ce soit d’autre (mais je reste ouvert à l’idée de créer des amitiés, le cas échéant).
Il n’y a aucun contrat entre ce site, moi-même, et les auteurs cités ou les renvois vers d’autres sites, ni aucun bénéfice ni avantage d’aucune sorte à le faire.
Vous n’êtes pas sur le blog d’une secte, d’une institution, d’un guérisseur autoproclamé, ni d’une entité à but marchand et/ou dominateur.
Il n’y a pas de séances de soin ni de service d’aide ici.
La métaphore de la passoire
J’aimerais maintenant utiliser une #métaphore pour expliciter le point de vue à partir duquel j’ai bâti ma narration.
Pour cela je prends une passoire de cuisine, un « égoutte spaghettis » et je suppose que nous serions de minuscules êtres, nés sur le bord de la passoire. Les être nés avant nous ont formé la société, et cette société nous propose d’atteindre l’autre bord de la #passoire (l’autre rive pourrait-on dire) en restant sur la partie matérielle : en évitant de tomber dans les trous.
Lorsque nous étions enfant, des adultes nous tenaient par la main, pour nous éviter de trébucher et de tomber. Ils nous ont progressivement appris à repérer puis à contourner les trous.
Malgré cela, au cours de notre vie, nous tombons dans un ou plusieurs trous, et nous retrouvons ainsi hors du chemin que la société avait prévu pour nous.
Si le trou est un problème physique, la médecine va tenter de nous recoudre, pour que nous puissions reprendre notre travail, tel que la société l’a prévu.
Si le trou est existentiel, notre culture va rarement nous proposer des outils pour explorer le trou à la fois en autonomie et en relative sécurité. Elle va plutôt nous dire que ce trou est mauvais, tenter en vain de le boucher pour nous garder à la surface, c’est-à-dire dans le monde déjà répertorié, catalogué, et codifié.
Un des buts de ma narration est de proposer une autre perspective au sujet de cette passoire :
> une invitation à cesser de voir la vie de manière binaire et matérialiste, c’est-à-dire à se détacher du présupposé que la vie est bonne si elle est pleine et qu’elle ne vaudrait rien lorsqu’elle rencontre un trou, un vide.
> un encouragement à être à l’aise à toute altitude.
> une précaution pour ne pas se faire mal ni pour heurter autrui qu’il ne s’agit pas de jeter en bas contre son gré.
Pourquoi explorer le non répertorié ?
Parce qu’il y a des choses très intéressantes en dehors des lignes toutes tracées.
NB. comme avec toute liberté, explorer comporte un risque de tomber et de s’abîmer, et une opportunité d’apprendre.
LE blog de votre vie…
c’est votre vie !
J’ai la croyance que les sagesses que vous tirerez de vos propres expériences de vie sont irremplaçables ; donc ce partage « spirituel » n’a vocation qu’à stimuler l’éveil de votre propre sagesse.
Cet ouvrage est un #partage des étapes de ma guérison spirituelle, sous forme non pas chronologique ni centrée sur les aventures de mon personnage social, mais sous forme de bibliothèque thématique.
J’ai la croyance que la guérison spirituelle est une clef de guérisons multiples (et cela contredit les nomes juridiques en vigueur qui défendent une guérison conçue principalement à partir de la médecine. Je précise donc que ce blog n’est aucunement un guide de santé, mais il est une bibliothèque de mes croyances).